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Date & horaires
1 juillet 2022
17h00 - 19h00

Vendredi 1et juillet à 17h, le Musée de l’Alta Rocca accueillera la pièce de théâtre « Quatre heures à Chatila », un texte de Jean Genet adapté, mis en scène et en lumière par Paul Fortini avec Fabio Di Domenico et Sonny Oliver

Synopsis

En septembre 1982, Jean Genet est à Beyrouth au Liban. A partir du 16 septembre ont lieu les massacres de Sabra et Chatila. Le 19 septembre, Jean Genet est le premier Européen à pouvoir pénétrer dans le camp de Chatila. Amoureux de la cause palestinienne et premier témoin du massacre, il écrit un long article, description froide des morts, pamphlet politique à charge contre les instigateurs du massacre et essai poétique, qui sera publié dans la Revue d’études Palestinienne.

À PROPOS DE QUATRE HEURES À CHATILA En 2018, je découvre Quatre Heures à Chatila. Le texte me percute au plus profond de mon être. Quatre heures à Chatila n’est pas un texte théâtral, je travaille à l’adaptation fidèle de ce texte, pour en extraire sa grande force au plateau : un projet sensible, à hauteur d’homme, évoquant, par l’un des grands massacres contemporains, l’horreur des tueries, l’universel du massacre et comment le transmettre, le faire parvenir, faire entendre la mort et l’odeur blanche de la mort – un projet sur le devoir de transmission et de mémoire. Un acteur se déplaçant lentement sur un tapis de poussière au sol, et à chaque pas, la poussière qui s’élève et se mêle à une brume épaisse. Une obscurité bleue, une nuit profonde, et ci et là, des découpes de lumières, traçant les rues de Chatila et les entrebâillures de portes à travers lesquelles passe Genet. Paul Fortini

À partir de 13 ans

Source :

Quatre heures à Chatila

 

 

 

Lieu
Musée de l'Alta Rocca


Vendredi 1et juillet à 17h, le Musée de l’Alta Rocca accueillera la pièce de théâtre « Quatre heures à Chatila », un texte de Jean Genet adapté, mis en scène et en lumière par Paul Fortini avec Fabio Di Domenico et Sonny Oliver

Synopsis

En septembre 1982, Jean Genet est à Beyrouth au Liban. A partir du 16 septembre ont lieu les massacres de Sabra et Chatila. Le 19 septembre, Jean Genet est le premier Européen à pouvoir pénétrer dans le camp de Chatila. Amoureux de la cause palestinienne et premier témoin du massacre, il écrit un long article, description froide des morts, pamphlet politique à charge contre les instigateurs du massacre et essai poétique, qui sera publié dans la Revue d’études Palestinienne.

À PROPOS DE QUATRE HEURES À CHATILA En 2018, je découvre Quatre Heures à Chatila. Le texte me percute au plus profond de mon être. Quatre heures à Chatila n’est pas un texte théâtral, je travaille à l’adaptation fidèle de ce texte, pour en extraire sa grande force au plateau : un projet sensible, à hauteur d’homme, évoquant, par l’un des grands massacres contemporains, l’horreur des tueries, l’universel du massacre et comment le transmettre, le faire parvenir, faire entendre la mort et l’odeur blanche de la mort – un projet sur le devoir de transmission et de mémoire. Un acteur se déplaçant lentement sur un tapis de poussière au sol, et à chaque pas, la poussière qui s’élève et se mêle à une brume épaisse. Une obscurité bleue, une nuit profonde, et ci et là, des découpes de lumières, traçant les rues de Chatila et les entrebâillures de portes à travers lesquelles passe Genet. Paul Fortini

À partir de 13 ans

Source :

Quatre heures à Chatila

 

 

 

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